Quellestar se cache sous ce dĂ©guisement ? TĂ©lĂ©-Loisirs fait le point sur les indices d'ores et dĂ©jĂ  disponibles. C'est parti pour la quatriĂšme saison de Mask Singer sur TF1. Douze nouveaux IceShow : Clara Morgane se fait peloter par le mari de sa coach, dĂ©couvrez les vidĂ©os TV, SVOD sur TĂ©lĂ©-Loisirs MassacreĂ  la tronçonneuse : l'horrible histoire vraie qui se cache derriĂšre le film PubliĂ© le 1 novembre 2019 Ă  08:15 par La rĂ©daction Quand on regarde le film d'horreur Massacre Ă  la DĂ©couvrezqui se cache derriĂšre ce podcast rĂ©alisĂ© en CorrĂšze et qui fait parler de lui (et surtout d'elles) Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s PubliĂ© le 19/07/2022 Ă  13h40 Screamest un film rĂ©alisĂ© par Wes Craven, sorti le 16 juillet 1997 au cinĂ©ma. DerriĂšre ce long-mĂ©trage qui a fait frissonner des millions de personnes, se cache l’histoire vraie d'un tueur en sĂ©rie. Si vous n'avez pas vu le film Scream, l'article ci-dessous dĂ©voile des Ă©lĂ©ments importants de l’intrigue. Scream est un film d DĂ©couvrirce qui se cache derriĂšre le rideau mystĂšre de Bataille et Fontaine pour y chanter en quartet. La vĂ©ritĂ© est au bout du couloir 15 photos. Lancer le diaporama Interview de Liza esMMe. Comme l’islam dĂ©termine toutes les facettes de la vie sociale et personnelle du musulman du moins en thĂ©orie, il n’y a rien d’étonnant Ă  ce qu’il donne aussi des instructions sexuelles au vrai croyant. Ces instructions se fondent sur le Coran, ainsi que sur les hadith, ces textes qui rapportent des propos tenus par le prophĂšte Mahomet ou des histoires le concernant. En Europe, dĂšs le xviie siĂšcle, on dĂ©crivait l’islam comme une religion pornographique. Cette association d’idĂ©es s’explique non seulement par l’hĂ©donisme de Mahomet – Ă  qui l’on doit ces paroles cĂ©lĂšbres “Pour ce qui est des affaires terrestres, j’aime les femmes et le parfum” –, ainsi que par la sensualitĂ© des descriptions coraniques du paradis, mais aussi par l’intĂ©rĂȘt accordĂ© Ă  la sexualitĂ© masculine. Pour Mahomet, le sexe ne sert pas uniquement Ă  la reproduction, mais on peut en jouir Ă  part entiĂšre. Il autorisait d’ailleurs le coĂŻt interrompu comme mode de contraception. Le 11 septembre 2001, de religion pornographique, l’islam est tout d’un coup devenu une religion terroriste. C’est un changement Ă©videmment regrettable. A ce propos, je me souviens encore d’un Marocain qui, stupĂ©fait d’entendre une Arabe dĂ©clarer Ă  la tĂ©lĂ©vision que l’Occident Ă©tait obsĂ©dĂ© par le sexe, s’est Ă©criĂ© “Ce n’est pas vrai. Le sexe, ça nous intĂ©resse aussi !” Cela Ă©tant, je me demande ce qu’il reste aujourd’hui du mythe de l’Arabe infatigable, un mythe qu’illustre cette histoire bien connue un Arabe capture la femme d’un croisĂ© et fait sept fois l’amour avec elle. La femme lui demande “Les Arabes s’y prennent-ils tous ainsi ?” L’homme lui rĂ©pond par l’affirmative. “Maintenant, je comprends pourquoi Dieu vous a donnĂ© la victoire sur nous !” Quiconque lit certaines rubriques des journaux sait Ă  quel point il est difficile, voire Ă©puisant, de parvenir Ă  un orgasme satisfaisant – du moins pour un homme qui s’efforce aussi de satisfaire sa compagne. Pour rendre justice Ă  Mahomet, il importe de signaler qu’il encourageait ses disciples Ă  avoir recours Ă  des prĂ©liminaires. “Ne vous jetez pas sur vos femmes, expliquait-il, mais commencez par leur adresser un messager.” Les siens lui demandĂšrent alors “Qu’est-ce qu’un messager, ĂŽ ProphĂšte ?” Il rĂ©pondit “Des mots doux et des baisers.” Nous savons Ă©galement des comportements sexuels de Mahomet qu’il gardait la tĂȘte couverte pendant l’acte et qu’il disait Ă  la femme “Mets-toi Ă  ton aise”, avant de s’atteler Ă  la tĂąche. Il parlait aussi ouvertement de sexe avec ceux qui venaient lui demander conseil. Nous savons enfin que Mahomet n’était pas circoncis. Il n’existe en tout cas aucun compte rendu connu d’une Ă©ventuelle circoncision. Les premiers Ă©rudits islamiques ont d’ailleurs beaucoup Ă©crit et polĂ©miquĂ© sur cette question. Les thĂ©ologiens sont finalement parvenus Ă  un consensus Mahomet, en tant qu’élu de Dieu, est nĂ© circoncis. Avant l’islam, les Arabes pensaient que, lorsqu’un garçon Ă©tait enfantĂ© Ă  la pleine lune, il naissait circoncis ou plus prĂ©cisĂ©ment marquĂ© par un prĂ©puce plus court ne pouvant couvrir tout le gland. Le principal verset du Coran sur le sexe se trouve dans la deuxiĂšme sourate, celle dite de la Vache, verset 223 “Vos femmes sont pour vous un champ de labour. Allez Ă  votre champ, comme vous le voudrez.*” Ce mot “comme” est ambigu car, en arabe, il peut aussi vouloir dire “oĂč vous le voudrez”. Dans les travaux thĂ©ologiques, ce point fait aussi l’objet de vives disputes “comme vous le voudrez” sous-entendrait que le sexe peut se pratiquer dans diffĂ©rentes positions. Et la tradition veut que “certains Arabes” pratiquent l’amour sur le cĂŽtĂ©. C’était censĂ© ĂȘtre la meilleure façon de dissimuler le plus possible la vulve de son Ă©pouse. On estimait en effet indĂ©licat d’exposer sans pudeur cette partie du corps de la femme mais nous reviendrons sur ce point plus tard. Pour illustrer ce problĂšme, la tradition raconte une petite histoire. Un jour, une femme se plaignit au ProphĂšte que son mari exposait sa vulve sous tous les angles. Allah envoya alors Ă  Mahomet le verset prĂ©citĂ©. A l’époque, on croyait qu’une femme Ă  qui l’on fait l’amour par-derriĂšre enfantait des enfants qui louchent ou qu’elle devenait stĂ©rile si elle s’allongeait sur l’homme. La position du missionnaire, elle, expose inutilement sa vulve au regard. De plus, il est toujours inconvenant pour une musulmane habillĂ©e d’ĂȘtre assise les jambes Ă©cartĂ©es. Quant aux jambes croisĂ©es, elles sont aussi suspectes c’est un signe de libertinage. C’est le cĂ©lĂšbre thĂ©ologien Al Ghazali 1058-1111 qui a couchĂ© dĂ©finitivement sur le papier les rĂšgles de l’orthodoxie pour avoir des rapports sexuels dĂ©cents. Il estimait que le corps de l’homme, comme celui de la femme, doit ĂȘtre couvert pendant l’acte. Moins on expose son intimitĂ© corporelle, mieux ça vaut. Le couple n’a pas non plus le droit d’indiquer la direction de La Mecque avec la tĂȘte. Et, pour “dĂ©fendre” la nature de la femme – autrement dit pour s’assurer que l’idĂ©e d’adultĂšre ne vienne la travailler –, l’homme doit avoir un rapport sexuel une fois tous les quatre jours. La question de la frĂ©quence des rapports sexuels qu’un musulman doit avoir pour satisfaire sa femme est d’une grande importance. Elle a Ă©tĂ© savamment discutĂ©e peu de temps aprĂšs la mort de Mahomet. Certains pensaient que le bon rythme pour un musulman Ă©tait d’avoir un rapport sexuel une fois tous les trois jours avec sa femme. Ce qui est certain, c’est qu’avant de se livrer Ă  l’acte il faut dire “Bismillah !” – au nom d’Allah. Il faut de plus dĂ©clamer quelques versets du Coran. Cette piĂ©tĂ© vise surtout Ă  obtenir une descendance noble il faut comprendre masculine. Une source arabe rapporte une anecdote significative Ă  ce propos. Il s’agit d’un homme qui n’avait que des filles. Il s’en plaignit Ă  un imam qui lui conseilla de dire dĂ©sormais, avant de pĂ©nĂ©trer sa femme, “Astaghferou Allah !” – Que Dieu me pardonne ! L’homme s’exĂ©cuta et obtint ainsi dix garçons. Cela dit, la vraie morale de cette histoire est qu’avoir des filles est une sanction de Dieu pour des pĂ©chĂ©s – Ă©ventuellement inconscients. Le verset 223 de la deuxiĂšme sourate du Coran peut Ă©galement ĂȘtre interprĂ©tĂ© en ces termes “Allez Ă  vos femmes oĂč vous le voudrez.” Dans ce cas, Dieu autoriserait la sodomie. Ce point a lui aussi fait l’objet de nombreux Ă©crits, mĂȘme si l’opinion courante est que l’islam ne tolĂšre pas le sexe anal. Mahomet aurait dit “N’allez pas Ă  vos femmes par leur ne-me-touche-pas.” un euphĂ©misme pour l’anus. Il aurait aussi qualifiĂ© la pratique du coĂŻt anal avec des femmes de “petite sodomie”. Or, sachant que la “grande sodomie” – homosexuelle – Ă©tait rĂ©prĂ©hensible, on peut donc en dĂ©duire que sa “petite” variante est punissable elle aussi, comme dans certains Etats des Etats-Unis. Le Coran semble le confirmer, car il y est dit avant la citation susmentionnĂ©e “Et si elles te rĂ©clament durant leurs menstrues, dis-leur c’est nuisible. Evite les femmes pendant leurs menstrues et ne les approche pas tant qu’elles sont impures. Une fois qu’elles sont pures, va en elles lĂ  par oĂč Dieu l’a ordonnĂ©.” L’islam connaĂźt quatre Ă©coles juridiques principales. L’un de ces courants est l’école malĂ©kite, du nom de son fondateur, le thĂ©ologien et juriste Malik ibn-Anas environ 715-795. Cet homme aurait autorisĂ© le coĂŻt anal dans certaines circonstances ce serait un moindre pĂ©chĂ© que la masturbation. Car, selon le ProphĂšte, quiconque se masturbe ne contemplera jamais le paradis. Malik a furieusement niĂ© avoir tenu ces propos et a maudit ceux qui les lui avaient attribuĂ©s. Paradoxalement, cet homme exaspĂ©rĂ© est aussi Ă  l’origine de l’une des rares rĂ©fĂ©rences au sexe oral que j’ai pu trouver dans la littĂ©rature classique arabe. Il s’agit d’un ouvrage du XVe siĂšcle qui traite des femmes et du sexe. Un passage est consacrĂ© Ă  la question de savoir si un musulman est autorisĂ© Ă  regarder la vulve d’une femme. Il existe sur ce point prĂ©cis des interprĂ©tations contradictoires des faits et gestes du prophĂšte. L’une l’autorise et l’autre l’interdit, mais de toute façon les deux points de vue ne sont pas considĂ©rĂ©s comme authentiques. Pour ce qui est de l’interdiction, Mahomet aurait dit que personne ne doit regarder la vulve de sa femme ou de sa mĂšre, sous peine de cĂ©citĂ©. Selon l’autre tradition, il aurait dit “Dieu a voulu que la femme soit comme un vĂȘtement pour vous et vous, un vĂȘtement pour elle. Je vois tout ce qui est Ă  la femme et elle voit tout ce qui est Ă  moi.” Un consensus thĂ©ologique a finalement Ă©tĂ© trouvĂ© pour conclure que c’était une mauvaise chose, mais sur des critĂšres mĂ©dicaux et donc non religieux. Pour sa part, Malik aurait dit qu’il n’était pas convenable qu’un homme regarde la vulve de sa femme pendant la copulation ou “la lĂšche”. Un ajout qui passe gĂ©nĂ©ralement pour une “exagĂ©ration permissive”. En tout cas, l’islam actuel reconnaĂźt encore ces conditions et ces restrictions car elles proviennent de traitĂ©s qui sont considĂ©rĂ©s comme canoniques. MĂȘme dans le Kama-sutra arabe, le grand classique intitulĂ© Le Jardin parfumĂ© pour la rĂ©crĂ©ation des Ăąmes, du Tunisien Cheik Nefzaoui XVe siĂšcle, le sexe oral n’est pas citĂ©. Dans l’Ɠuvre d’Abu Hayyan al-Tawhidi mort en 1023, il y est fait allusion, mais en tant que dĂ©viance sexuelle. Ce penseur renommĂ© Ă©tait aussi une forte tĂȘte il a brĂ»lĂ© une bonne partie de son Ɠuvre avant sa mort, par amertume face Ă  la mĂ©connaissance et Ă  l’incomprĂ©hension auxquelles se heurtaient ses livres. Il raconte Ă  propos d’un homme Ă©minent Ă©perdument amoureux d’une esclave qu’“il l’allongeait sur le dos, lui soulevait les jambes et versait goutte Ă  goutte dans sa cavitĂ© une certaine quantitĂ© d’eau-de-vie. Puis il posait ses lĂšvres sur sa vulve et la suçait jusqu’à ce qu’il ait tout bu. Il buvait aussi son urine lorsqu’elle avait ses menstrues.” Puisque nous en sommes lĂ , je ne peux priver le lecteur de l’histoire suivante qui vient de la mĂȘme source. Al Tawhidi parle d’un clerc Ă  la cour qui “suçait le clitoris de son esclave juive ?, puis lui enfonçait son doigt dans l’anus, l’en retirait et dĂ©posait ce qu’il en avait extrait sur le bout de sa langue, tout en prononçant ces mots Voici l’essence du vin, plus goĂ»teux pour moi que des pommes !’” Question sexe, on le voit, il n’y a vraiment rien de nouveau sous le soleil. Bien qu’il fĂ»t conseillĂ© ou mĂȘme recommandĂ© de faire preuve de rĂ©serve et de piĂ©tĂ© pendant le jeu amoureux, l’ñme et la chair des musulmans ne se laissaient brider qu’à contre-cƓur. Ainsi, on Ă©voquait dans les Ă©crits l’opportunitĂ©, l’utilitĂ© et l’admissibilitĂ© du rahaz, Ă  savoir bouger et se tordre, se tortiller et remuer pendant l’acte. Une femme a-t-elle le droit de se laisser aller pendant les rapports sexuels et de bouger comme elle en a envie ? Peut-elle crier et user d’un langage obscĂšne ? La rĂ©ponse Ă  ces questions est simple puisque les femmes de personnes Ă©minentes et mĂȘme celles de certains compagnons du ProphĂšte l’ont fait, c’est que c’est autorisĂ©. On connaĂźt mĂȘme l’existence au VIIe siĂšcle d’une femme du nom de HubbĂą, dont on sait qu’elle conseillait d’autres femmes en cas de problĂšmes sexuels. Elle Ă©tait originaire de la ville sainte de MĂ©dine et elle incitait les femmes Ă  se montrer bruyantes et actives pendant l’acte afin d’augmenter le plaisir mutuel. MĂȘme lorsqu’elle Ă©tait devenue trĂšs ĂągĂ©e, son fils n’hĂ©sitait pas Ă  lui demander conseil “Le fils de HubbĂą demanda Ă  sa mĂšre MĂšre, comment les femmes prĂ©fĂšrent-elles qu’on les prenne ?’ Elle rĂ©pondit Mon fils, si la femme a le mĂȘme Ăąge que moi, demande-lui de s’agenouiller et d’appuyer sa joue contre le sol ; et ensuite, entre en elle. S’il s’agit d’une jeune fille, prends-lui les cuisses et appuie-les lui contre la poitrine. Tu obtiendras ainsi ce que tu veux et tu pourras satisfaire ton dĂ©sir.’” Des Ɠuvres postĂ©rieures encouragent le rahaz car la femme s’y livre tout simplement pour accentuer son plaisir. On pourrait dire pour atteindre l’orgasme. Mais l’arabe littĂ©ral n’a pas de mot pour dĂ©signer l’orgasme ; il ne connaĂźt que l’éjaculation masculine. Dans les dictionnaires modernes, l’orgasme est dĂ©crit comme “la douleur de la voluptĂ©â€ ; au Maroc, on parle de “chercher la tĂȘte”, autrement dit atteindre le paroxysme. A propos de libertĂ© de mouvement de la femme pendant l’acte sexuel, voici la seule description d’un orgasme fĂ©minin que j’aie trouvĂ©e dans la littĂ©rature classique arabe. Le poĂšme date de la fin du VIIIe ou du dĂ©but du IXe siĂšcle et il s’adresse Ă  la femme du poĂšte “Et toi, Oumamah, tu ne sais pas Que tu surpasses toutes les femmes en Ă©troitesse et en chaleur Et ce qui me charme en toi pendant le coĂŻt C’est ta langue qui vit et ton regard qui meurt.” Le lecteur trouvera ci-aprĂšs une description d’une femme qui se laisse totalement aller. Il s’agit d’un extrait de Alf layla wa layla, plus connu sous le titre Les Mille et Une Nuits, Ă©crit en prose rimĂ©e, que j’ai ici transformĂ© en poĂšme “La jeune fille se leva et se dĂ©shabilla Elle se prĂ©senta dans une chemise brodĂ©e de fil d’or Qu’elle retira et elle me prit par la main Et monta avec moi sur le lit et dit Gloire Au mariage – l’arc-en-ciel de mon cortĂšge de voiles ĂŽtĂ© Et dans ce qui a la bĂ©nĂ©diction de Dieu il n’y a rien qui dĂ©shonore.’ Elle se laissa tomber sur le dos et me projeta Sur sa poitrine consumĂ©e par tant de dĂ©sirs [qui la tourmentaient Elle poussa un sanglot et Ă  ce sanglot SuccĂ©da un regard nĂ© d’un voluptueux dĂ©sir de plaire Puis elle releva son vĂȘtement jusqu’à ses seins Et quand je l’aperçus dans cet Ă©tat Je ne pus me contenir et m’introduisis En elle aprĂšs lui avoir sucĂ© la lĂšvre Et elle gĂ©mit et feignit l’angoisse et la soumission Et elle laissa des larmes couler de ses yeux Et elle s’écria Oh mon amour et ma chose ! Fais de ton mieux ! Je suis ton esclave ! Prends-le Ă  pleine main ! Donne-le moi tout entier ! Donne-le moi ! Je veux le faire entrer en le tenant dans ma main Et guĂ©rir ainsi mon cƓur de ce mal !’ Elle me fit entendre encore longtemps des chants de dĂ©sir et des sanglots Entre tous les baisers et les enlacements Jusqu’à ce que nos cris envahissent la rue Et que nous parvenions Ă  atteindre le bonheur et le succĂšs.” J’aime bien le passage “et feignit l’angoisse et la soumission”. Pauvres hommes
 Lâ€™â€œĂ©troitesse”, dans le premier poĂšme, fait naturellement allusion Ă  son vagin. Les Arabes avaient et ils ont encore une prĂ©fĂ©rence pour un vagin Ă©troit, de prĂ©fĂ©rence sec. Cela peut s’expliquer par la circoncision avec son prĂ©puce, l’homme circoncis perd des milliers d’extrĂ©mitĂ©s nerveuses sensibles. D’oĂč peut-ĂȘtre aussi l’attention obsessionnelle accordĂ©e Ă  la “petite sodomie”. Cette ouverture d’esprit est louable, car, d’aprĂšs un proverbe connu “Il n’y a pas de honte dans les affaires religieuses”. J’aime ajouter et en dehors non plus. * Passage empruntĂ© Ă  la traduction du Coran de D. Masson, Gallimard, coll. “Folio Classique”, 1967. Nofake , je suis vraiment choquĂ© lĂ  je vous explique Mes parents ont divorcĂ© depuis 3 mois et disons qu'elle a du mal Ă  retrouver une quelconque relation avec un homme maintenant. Malheureusement , ma mĂšre a Ă©tĂ© diagnostique nymphomane et ne peut se passer de sexe , pendant 3 mois je me suis dit qu'elle tiendrait pas et je m'inquiĂ©tais pour elle jusqu'Ă  ce soir Je cherchais le chien pour aller le promener parce que je me faisais chier , je ne le trouva pas et c'est alors que j'alla voir ma mĂšre pour lui demander oĂč il Ă©tait et lĂ  le choc Ma mĂšre avait introduit le pĂ©nis de mon chien dans son V et mouillait comme jamais quand elle m'a vu elle s'est tout de suite arrĂȘtĂ© , mais le plus choquant c'est que pour se faire pardonner d'avoir fait ça, elle me proposa d'aller la rejoindre dans son lit cette salope c'est alors que mon chien , sous la jalousie surement , commença Ă  aboyer fĂ©rocement et sauta sur ma mĂšre avant de lui dĂ©foncer le trou de balle , elle n'avait jamais jouit comme ça auparavant je pense il a fini par lui Ă©jaculer dans le V et je crains qu'elle ne soit maintenant enceinte .... vous croyez que c'est possible ?..... une nouvelle espĂšce peut ĂȘtre créée ?... j'ai peur aidez moi Le cunnilingus et la fellation sont des pratiques qui, si elles sont bien maĂźtrisĂ©es, peuvent dĂ©cupler la jouissance des hommes comme des femmes pendant les prĂ©liminaires. S'il ne s'agit absolument pas d'une Ă©tape obligatoire vous ĂȘtes libre de faire comme vous le voulez, d'autant plus qu'en matiĂšre de sexualitĂ© et de dĂ©sir, il n'y a pas de guide Ă  suivre et de case Ă  cocher, certains couples aiment cet Ă©change de plaisir qu'offre le sexe oral. La technique pour satisfaire au maximum votre partenaire s’acquiert avec le temps et la pratique. Si vous maĂźtrisez cette partie lĂ  sur le bout de la langue, c'est peut-ĂȘtre l'occasion pour vous de tenter d'entrer dans un nouveau terrain, forcĂ©ment inconnu. N'ayez pas peur d'oser de nouvelles positions de sexe oral, Ă  prendre comme un jeu Ă©rotique ou tout simplement comme une nouvelle entrĂ©e en matiĂšre... 1. Le train oralC'est certainement la position qui procure le maximum de plaisir. Faites mine de vous asseoir sur les lĂšvres de votre partenaire. N'ayez pas peur de chevaucher sa tĂȘte tout en douceur prenant appuie sur vos genoux. Vous ĂȘtes libre de faire onduler vos hanches pour plus de plaisir. Votre chĂ©rie pourra s'agripper Ă  vos fesses pour vous procurer des sensations insoupçonnĂ©es. 2. La levretteTout comme la levrette traditionnelle, vous vous tenez Ă  quatre pattes et votre partenaire n'aura plus qu'Ă  s'occuper de votre fleur en vous lĂ©chant par derriĂšre. Cela peut-ĂȘtre une bonne mise en bouche pour un anulingus. 3. Le 69 canapĂ©Le 69 est bien connu par les amateurs de sexe oral. Chacun prend son plaisir et en donne Ă  l'autre en mĂȘme temps. Ici, on parle de 69 version canapĂ©. Vous allez vous placer la tĂȘte Ă  l'envers sur le canapĂ©, les jambes relevĂ©es sur le dossier. Votre partenaire s'agenouillera au dessus de votre visage face au dossier et se penchera pour accĂ©der Ă  votre intimitĂ©. 4. Spider-manAllongez-vous sur le lit, le tĂȘte dĂ©passant du bord. Votre partenaire se placera au niveau de votre tĂȘte et pourra admirer votre corps allongĂ© pendant que vous vous occuperez de lui ou d'elle. 5. La jambe en l'airChez le femme, il existe une partie de la vulve qui est plus sensible. Afin de stimuler cet endroit, vous allez lever une de vos jambes tout en laissant l'autre reposer sur le bord du lit. Votre partenaire viendra embrasser votre intimitĂ© pour vous donner un maximum de plaisir, sans oublier de maintenir votre jambe levĂ©e. 6. Le bonbonGrĂące Ă  cette position, vous provoquerez une explosion de plaisir chez votre moitiĂ©. Allongez-vous Ă  cĂŽtĂ© de votre partnaire, assise en face de vous sur le lit. Votre bouche est placĂ©e directement en face de son sexe et tout en restant couchĂ©e, vous pourrez lui faire le plus grand bien. C'est une position idĂ©ale pour celles qui ont un petit coup de fatigue. 7. La langue de chat ou position du papillonC'est la position classique du cunnilingus. Un peu de souplesse est requise pour cette position qui vous procura un plaisir dĂ©licieux. Vous ĂȘtes allongĂ©e sur le dos, votre partenaire est face Ă  vous. Relevez vos jambes un maximum vers vos seins de sorte Ă  ce qu'elles crĂ©ent un V. Votre chĂ©rie se place en face de votre partie et pourra vous masser les zones Ă©rogĂšnes ou pratiquer la masturbation pour plus de plaisir. L’actualitĂ© par la rĂ©daction de RTL dans votre boĂźte mail. GrĂące Ă  votre compte RTL abonnez-vous Ă  la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualitĂ© au quotidien S’abonner Ă  la Newsletter RTL Info Dans la foulĂ©e du hashtag BalanceTonMetro et de l’action militante des collectifs NousToutes et les EffrontĂ©es dĂ©nonçant l’inaction de la RATP dans la gestion des agressions sexuelles, Les Inrocks ont recueilli les tĂ©moignages de plusieurs femmes victimes de harcĂšlement ou d’agressions sexuelles dans les transports en commun. BalanceTonMetro voilĂ  un hashtag devenu viral sur Twitter mercredi 24 avril. LancĂ© par plusieurs membres des collectifs NousToutes et les EffrontĂ©es, “marre d’ĂȘtre des proies sur les lignes de la RATP”, ce hashtag s’inscrivait dans le cadre d’une action militante dans le mĂ©tro et au siĂšge de la RATP, Ă  Paris. Le but mettre en exergue l’inaction de la rĂ©gie concernant la gestion des cas d’agressions sexuelles dans les mĂ©tros, trams et autres bus ou RER. Dans la foulĂ©e, des milliers de femmes ont tĂ©moignĂ© sur le rĂ©seau social du harcĂšlement et des agressions sexuelles qu’elles subissent quotidiennement dans les transports en commun – pour rappel, 100 % des femmes y ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© harcelĂ©es. Les Inrocks ont recueilli les propos de plusieurs d’entre elles. << A lire aussi BalanceTonMetro dĂ©nonce l'inaction de la RATP lors d'agressions sexuelles dans les transports en commun Jeanne, 26 ans “Je me suis rĂ©veillĂ©e dans le mĂ©tro en sentant une main qui caressait mon entrejambe Ă  travers mon jean.” Un jour, je me suis endormie dans le wagon alors que je rentrais de soirĂ©e avec le premier mĂ©tro, Ă  Paris. Je me suis rĂ©veillĂ©e en sentant une main qui caressait mon entrejambe au travers de mon jean. Je me suis levĂ©e prĂ©cipitamment, et quand j’ai demandĂ© Ă  l’homme ce qu’il faisait – tout ce qui m’est venu Ă  l’esprit sur le moment
 – il m’a rĂ©pondu j’aime bien’, avec un air totalement dĂ©tendu. Il n’y avait que nous deux dans la rame. Je suis vite sortie, heureusement j’étais Ă  mon arrĂȘt. J’étais super mal, j’ai pleurĂ©. J’ai rappelĂ© une amie avec qui j’étais Ă  la soirĂ©e qui m’avait appelĂ©e plusieurs fois pour savoir si j’étais bien rentrĂ©e. Maintenant, je ne prends plus jamais le mĂ©tro seule si je me sens trop fatiguĂ©e en rentrant de soirĂ©e. » Rosalie, 31 ans “C’était un moment de panique totale, Ă  me dire qu’il allait me suivre jusqu’à chez moi.” Je me souviens trĂšs bien du mec qui m'a suivi depuis Stalingrad. PlutĂŽt que de "le ramener" jusqu'Ă  chez moi, aprĂšs avoir essayĂ© de le semer dans les couloirs de Montparnasse, je l'ai attendu sur le parvis de la gare et je l'ai confrontĂ©. Je suis rentrĂ©e Ă  pied BalanceTonMetro — Rosalie SalaĂŒn-Gourlaouen Rosalie_Sal1 April 24, 2019 J’ai la chance d’ĂȘtre blanche, assez grande et de ne pas avoir froid aux yeux. Via ce hashtag, j’ai lu des anecdotes vraiment atroces, ce qui m’est arrivĂ©, en comparaison, n’est pas trĂšs grave. Je suis montĂ©e dans le mĂ©tro Ă  Stalingrad, Ă  Paris, j’étais en face de deux strapontins. Je me suis sentie tout de suite surveillĂ©e du coin de l’oeil par un homme, c’était hyper malaisant. Je suis descendue Place de Clichy pour faire mon changement de mĂ©tro, je prenais bien mon temps en me disant il va s’en aller’. Il est allĂ© dans une autre direction, et, quand j’ai fait mon changement pour prendre la ligne 13, il m’a suivie. Et il n’est non seulement pas montĂ© dans la 13, mais dans le mĂȘme wagon, Ă  un mĂštre de moi. C’était un moment de panique totale, Ă  me dire qu’il allait me suivre jusqu’à chez moi. Je connais bien la Gare Montparnasse, du coup je suis descendue lĂ , alors que ce n’était pas ma destination. J’ai pris dĂ©libĂ©rĂ©ment plein de raccourcis, des sens interdits, etc, mais il me suivait, il me filait. Pour me mettre en sĂ©curitĂ©, je me suis dit qu’il fallait que j’aille dans un espace avec beaucoup de monde. Je me suis assise sur un banc devant la gare. Il a fini par venir s’asseoir Ă  cĂŽtĂ© de moi et m’a dit quelque chose comme Bonjour, ça va, on peut parler ?’ Je me suis mise Ă  hurler Tu te fous de moi, tu crois que je n’ai pas vu que tu m’avais suivie ?’ Il est parti. Clairement, il voulait m’aborder, mais, pour ça, il m’avait suivie. C’est le comportement d’un homme pas net. Je me suis dit aprĂšs coup que j’aurais dĂ» le prendre en photo, de façon Ă  lui faire plus peur et Ă  pouvoir dĂ©poser une main courante. Sinon, comme toutes les femmes, j’ai Ă©tĂ© confrontĂ©e aux exhibitionnistes, Ă  des scĂšnes de violence, etc. Je suis militante fĂ©ministe, et mon fĂ©minisme a massacrĂ© mon innocence. J’ai compris que tout ce que je laissais passer n’étais pas normal – voire Ă©tait rĂ©prĂ©hensible pĂ©nalement. Concernant les solutions dans ce cadre prĂ©cis, je ne pense pas qu’on puisse former tout le monde dans le mĂ©tro, je pense donc qu’il faut que la RATP forme tous ses agents. Je lisais des tĂ©moignages montrant que quand une femme se plaint, on lui rit au nez, on lui dit qu’’on ne peut pas faire grand-chose’, etc. Or, discuter avec les agents pour savoir quelles sont les possibilitĂ©s concrĂštes d’action, et les former, c’est possible. » Sonia, 26 ans “Un vieux dĂ©gueulasse qui pince les fesses des jeunes filles, avec sa femme Ă  cĂŽtĂ©.” Une fois, Ă  Paris, j’étais dans le RER B que j’avais pris Ă  Gare du Nord pour aller Ă  Roissy, je partais en vacances. C’était une heure oĂč il y avait pas mal de monde, on Ă©tait un peu collĂ©s dans le wagon. Jusqu’au moment oĂč j’ai au l’impression qu’on me touchait les fesses. Je ne savais pas si c’était fait exprĂšs ou non vu le monde, mais j’ai remarquĂ© un homme derriĂšre moi, qui devait avoir 35-40 ans. Au dĂ©but, je lui ai laissĂ© le bĂ©nĂ©fice du doute. Le trajet a continuĂ©, il y avait de moins en moins de monde dans la rame, je voyais qu’il y avait largement de la place. Pourtant, j’ai continuĂ© Ă  sentir qu’on me touchait – lĂ , je n’ai plus eu de doute. Je me suis retournĂ©e, et j’ai dit Ă  l’homme Je vous demande s’il vous plaĂźt d’arrĂȘter de me toucher les fesses.’ Personne n’a rĂ©agi. Il m’a juste dit n’importe quoi et, comme par hasard, est sorti juste aprĂšs. Une autre fois, c’était aprĂšs la victoire de la France Ă  la Coupe du monde, cet Ă©tĂ©. Avec une amie, on a pris le mĂ©tro Ă  MĂ©nilmontant pour aller faire la fĂȘte aux Champs-ElysĂ©es. On est montĂ©es dans le premier wagon, il n’y avait pas beaucoup de monde. On Ă©tait adossĂ©es Ă  la cabine du chauffeur. Mon amie Ă©tait Ă  ma droite, et, Ă  la sienne, il y avait un homme, lui aussi adossĂ© Ă  la cabine, accompagnĂ© de sa femme. Il y avait une super ambiance, tout le monde chantait. Mon amie a commencĂ© Ă  me dire qu’elle avait l’impression que le mec Ă  cĂŽtĂ© lui pinçait les fesses. Elle me l’a dit une seconde fois. Du coup, on a Ă©changĂ© de place, c’est moi qui me suis retrouvĂ©e Ă  cĂŽtĂ© de lui. On continuait de chanter, et là
 J’ai senti qu’il me pinçait aussi les fesses. Je lui ai dit Vous n’avez pas honte de nous pincer les fesses ? Ça fait deux fois pour mon amie et moi’. Il s’est offusquĂ©, Ă  demander comment on osait l’accuser ainsi devant sa femme. Elle aussi d’ailleurs a commencĂ© Ă  nous engueuler, en mode pour qui vous vous prenez’. On a changĂ© de wagon. AprĂšs coup, j’ai lu plusieurs articles qui racontaient qu’il y avait eu plein d’agressions de ce type dans les transports en commun ou dans la rue pendant la coupe du monde. Je trouve ça choquant. Dans notre cas, je me dis donc qu’il y avait un vieux dĂ©gueulasse qui pince les fesses des jeunes filles, avec sa femme Ă  cĂŽtĂ©. Je crois que pour lui, ça doit d’ailleurs ĂȘtre un gage de sĂ©curité’ qu’elle soit lĂ  en mode, qui va croire que je fais ça avec ma femme Ă  cĂŽtĂ© ? Et pourtant
 Je trouve ça bien ce hashtag BalanceTonMetro. Il faut que ça se sache. Je pense que les mecs ne se rendent pas compte Ă  quel point c’est oppressant. Il faut avoir du courage pour dire haut et fort quand ça se passe. On a tendance Ă  laisser le bĂ©nĂ©fice du doute, vu que les mĂ©tros sont blindĂ©s de passagers, mais moi, j’arrive bien Ă  ne pas toucher les fesses des autres, je fais attention ! C’est volontaire en fait, on n’est pas folles, ils profitent qu’il y ait beaucoup de monde. Maintenant, il y a des filles qui filment ou prennent en photo leurs agresseurs. On prend de l’assurance ce n’est plus normal’ de faire ça, et on va le dĂ©noncer. » A., 28 ans “J’ai vu sur mes chaussures ce qui Ă©tait manifestement du sperme.” On est dimanche, il fait beau et j'ai 14 ans. Je suis dans le RER, sur un strapontin. Il y a un peu de monde ms je peux rester assise. Il s'approche. Il me colle. Je n'ose pas lever les yeux. Je me sens mal. En sortant, j’aperçois un fluide blanc sur mes baskets. BalanceTonMetro — A. A_Mox April 24, 2019 C’était un dimanche aprĂšs midi, je prenais le RER pour aller rejoindre mes cousins qui habitaient en proche banlieue de Paris. Il n’y avait pas grand monde dans le wagon, j’étais assise sur le strapontin. Le reste est flou, car je n’ai jamais levĂ© les yeux. Je sentais juste une prĂ©sence trĂšs malaisante, qui se rapprochait. Et ce, beaucoup trop vu le peu de monde dans le wagon il y avait de la place. Avant de sortir, j’ai regardĂ© mes baskets qui Ă©taient de couleur foncĂ©es. Et lĂ , j’ai vu sur mes chaussures ce qui Ă©tait manifestement du sperme. Plein de personnes racontent qu’elles se sentent trĂšs sales aprĂšs avoir subi une agression sexuelle. Moi, aprĂšs ce qui s’est passĂ©, je n’ai pas ressenti ça, mais en revanche j’ai un souvenir de sidĂ©ration, Ă  me demander comment est-ce possible ?’. Depuis, je n’ai pas particuliĂšrement peur de reprendre les transports en commun, mais en revanche je n’ai pas oublié  et cela me revient parfois quand je regarde mes chaussures. Par la suite, j’ai vĂ©cu les mĂȘmes choses auxquelles toutes les femmes sont confrontĂ©es dans les transports en communs parisiens un homme qui te suit de façon trĂšs insistante dans les couloirs du mĂ©tro, ĂȘtre sifflĂ©e, ou encore collĂ©e dans un wagon, sans trop savoir, vu qu’il est bondĂ©, si c’est accidentel ou non. Ce sont plein de choses qui ne devraient pas ĂȘtre acceptables mais qui sont en fait trĂšs intĂ©riorisĂ©es comme les inconvĂ©nients secondaires des transports en commun en gĂ©nĂ©ral. Je n’attends pas spĂ©cialement quelque chose de la RATP mais plus qu’il y ait un travail collectif qui soit fait par rapport notamment Ă  la maniĂšre avec laquelle on rĂ©agit collectivement dans les transports. On se rend vite compte quand une agression ou des faits de harcĂšlement se passent et, sans doute par souci de protection personnelle, on ne rĂ©agit jamais en gĂ©nĂ©ral. Alors que si on rĂ©agissait collectivement, ce serait diffĂ©rent. Je ne suis pas pour qu’on mette un policier dans chaque wagon, et je suis trĂšs opposĂ©e Ă  l’idĂ©e d’instaurer des wagons non-mixtes. Je ne souhaite pas qu’on donne ce message aux femmes le fait que les transports en commun sont un espace dangereux pour elles, et qu’il ne faut pas s’y aventurer. » Youma, 28 ans “J’ai vu l’homme du mĂ©tro venir Ă  cĂŽtĂ© de moi dans le magasin.” Des histoires de ce type, j’en ai pas mal Ă  raconter. La plus rĂ©cente j’étais Ă  Gare du Nord, sur le quai de la ligne 5, Ă  Paris. J’ai vu un homme prĂšs de moi, qui me regardait, mais je ne rĂ©agissais pas. On est montĂ©s dans le mĂ©tro, il Ă©tait en face de moi dans l’espace accordĂ©on’. J’étais sur mon tĂ©lĂ©phone. Je suis descendue Ă  RĂ©publique, trois-quatre stations aprĂšs, pour aller dans le rayon fitness de chez Go Sport. Une fois arrivĂ©e, j’ai vu l’homme du mĂ©tro venir Ă  cĂŽtĂ© de moi dans le magasin. Je ne le regardais pas. Et lĂ , il a commencĂ© Ă  mettre sa main dans mon champ de vision. Je me suis dit LĂ , il se fout de ma gueule’. Il a commencĂ© Ă  me dire Excusez-moi, est-ce que c’est bien le rayon femmes ici ?’ Je lui ai rĂ©pondu hyper fort J’espĂšre que tu ne m’as pas suivie depuis Gare du Nord’. Il a fait les grands yeux puis est parti. Mais je me dis c’est que si j’étais rentrĂ©e chez moi, eh bien il m’aurait suivie jusqu’à chez moi. Sinon, un homme m’a dĂ©jĂ  attrapĂ© le bras, en me disant Viens on y va’. Je lui ai demandĂ© “On va oĂč ?”, il m’a rĂ©pondu Au Macdo’. Une autre fois, un autre qui me sifflait, me sifflait, avant de me tendre son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone. Le mec se dit que je vais forcĂ©ment l’appeler, l’égo surdimensionnĂ© quoi
 Ou encore ligne 14, un homme qui m’avait proposĂ© de boire un verre. J’ai dit non, il m’a demandĂ© si on pouvait aller faire les magasins, en me disant qu’il paierait tout. Devant son insistance, j’ai criĂ© Laisse moi tranquille’, ça l’a calmĂ©. Et puis, aussi, les frotteurs dans le mĂ©tro. Je suis grande, je n’ai pas vraiment peur quand je suis dans la rue, je ne me sens pas en insĂ©curitĂ©. Ça ne serait pas forcĂ©ment le cas si j’avais un plus petit gabarit. Par ailleurs, je suis noire, et cela fait qu’on est plus sexualisĂ©es. Il y a aussi les stĂ©rĂ©otypes oĂč les gens se disent qu’on est une communautĂ© trĂšs joviale, accueillante, et donc que c’est possible de se permettre de venir nous voir de cette façon. » Marine, 21 ans “Ce type Ă©tait en train de se masturber en me regardant avec insistance.” C’était sur les quais du RER, j’allais prendre le train. Je regardais autour de moi et, aprĂšs, j’ai vu ce type qui Ă©tait en train de se masturber en me regardant avec insistance. C’était vraiment immonde, personne n’a rien dit. J’étais avec des amis et j’étais habillĂ©e court’, donc ils m’ont dit qu’on ferait mieux de partir car l’homme pouvait ĂȘtre dangereux. Je suis partie prendre un autre train du coup. Une autre fois, dans le mĂ©tro ligne 13, je me suis pris une main aux fesses. Personne n’a rĂ©agi, mais je pense que personne n’a captĂ© vu comment le wagon Ă©tait rempli. Sur le coup, je n’ai rien dit, je suis juste partie. J’étais vraiment paniquĂ©e quand j’ai compris ce qui se passait. AprĂšs ces agressions, je n’étais pas Ă  l’aise dans les transports, sans compter tous ces regards insistants la plupart du temps. A Paris, il n’y a que ça, je ne compte mĂȘme plus combien de types sont venus m’agresser. Maintenant, j’ai dĂ©mĂ©nagĂ© dans une autre ville mais je fais toujours attention dans la rue car il y a des gens mals intentionnĂ©s. Je me suis achetĂ©e une voiture, je ne prends plus les transports. C’est bien sĂ»r une bonne chose que les femmes en parlent, ce n’est pas la premiĂšre fois d’ailleurs. Et puis, parfois, des hommes aussi se font agresser. » Sonia, 27 ans “Au moment oĂč j’ai franchi les portes du tram, [on] m’a mis une Ă©norme fessĂ©e.” “J’étais sur le quai du tram, Ă  Bordeaux, avec des petits jeunes un peu collants, qui avaient maximum quinze ans. J’ai vu le tram arriver avec soulagement. Les portes se sont ouvertes et au moment oĂč j’ai franchi les portes, l’un d’eux m’a mis une Ă©norme fessĂ©e, il m’a vraiment claquĂ© les fesses. Je n’ai absolument pas rĂ©agi tellement j’étais choquĂ©e. Et, Ă©videmment, personne d’autre n’a rĂ©agi, les gens m’ont juste dĂ©visagĂ©e de haut en bas, ajoutant Ă  l’humiliation du moment. J’avais 18 ans Ă  ce moment-lĂ  mais je me demande aujourd’hui comment je rĂ©agirais ? Est-ce que je ressortirais du tram pour aller chercher ce garçon et l’amener au commissariat ? En vrai, je ne pense pas.” Lily, 24 ans “Il m’avait suivie jusqu’à chez moi depuis que j’étais montĂ©e dans le mĂ©tro.” J’ai deux histoires qui me reviennent particuliĂšrement en tĂȘte. C’était il y a quatre cinq ans, j’avais moins de 20 ans. Un jour, pour le travail, j’avais rendez-vous en banlieue parisienne. Et lors de mon trajet retour, un homme m’a suivie jusqu’à Paris. Il m’a d’abord suivie jusqu’au RER, puis il s’est assis Ă  cĂŽtĂ© de moi dans le wagon. ArrivĂ©e Ă  Gare du Nord, il est parti devant moi, et j’ai remarquĂ© qu’il m’attendait dans le hall. C’est lĂ  que je me suis rendue compte qu’il me suivait. J’ai marchĂ© jusqu’au mĂ©tro et, une fois dedans, il a commencĂ© Ă  avoir des regards insistants. Je ne savais pas du tout quoi faire. Je me disais soit il me suit jusqu’à chez moi, soit il faut que je fasse quelque chose’. J’ai donc simulĂ© une descente du mĂ©tro, il est descendu aussi et, juste avant que les portes ne se referment, je me suis re-glissĂ©e Ă  l’intĂ©rieur. Par la fenĂȘtre, j’ai vu qu’il faisait une tĂȘte genre Mince, elle m’a Ă©chappĂ©e’. Une autre fois, j’étais dans la ligne 5 du mĂ©tro pendant environ six stations. Je suis descendue, et j’ai marchĂ© jusqu’à chez moi. ArrivĂ©e Ă  ma porte, un homme est arrivĂ© et m’a dit Je vous ai vue monter dans le mĂ©tro’. Il m’avait donc suivie depuis ce moment-lĂ . Je lui ai dit de dĂ©gager et de me laisser tranquille, ce qu’il a fait. GĂ©nĂ©ralement, quand des hommes me regardent avec insistance ou me demandent de sourire, je n’ai pas trop de mal Ă  les convaincre d’arrĂȘter, je fais une remarque. C’est important de parler de tout cela. Il n’y a tellement pas de honte Ă  avoir. » Cela fait plusieurs semaines que le compte Instagram provoque des remous dans le monde de la tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ©. En effet, ce compte balance des dossiers inĂ©dits sur certaines stars de ce milieu. Mais sa plus grande cible est Maeva Ghennam. D'ailleurs, la personne qui se cache derriĂšre ce compte prĂ©tend mĂȘme ĂȘtre la cousine de cette personne s'est permis de balancer que Giuseppa aurait trompĂ© Paga avec son meilleur ami Greg. Elle a Ă©galement rĂ©vĂ©lĂ© que Maeva aurait quelque chose Ă  voir avec la rupture temporaire de Thibault et Jessica pendant la grossesse de cette derniĂšre. Elle a aussi racontĂ© que la sulfureuse brune aurait Ă©tĂ© virĂ©e de DubaĂŻ. Mais plus rĂ©cemment, elle a fait une autre victime, il s'agit de Nelia, l'ex de Lorenzo que Milla Jasmine avait clashĂ© sur les rĂ©seaux sociaux. Et depuis, le doute plane chez les internautes sur l'identitĂ© de la personne qui se cache derriĂšre ce Jasmine en froid avec l'ex-femme de son mariEntre Milla Jasmine et Nelia c'est la guerre depuis que la starlette est en couple avec Lorenzo, l'ex-mari de cette derniĂšre. À en croire les rumeurs, Lorenzo n'Ă©tait pas encore sĂ©parĂ© de Nelia, la mĂšre de ses quatre enfants, lorsqu'il a commencĂ© Ă  frĂ©quenter Milla. La jeune maman a alors accusĂ© l’influenceuse de "voleuse de mari". Depuis, tout se corse entre les deux jeunes tĂŽt cette annĂ©e, Milla Jasmine s'est mariĂ©e Ă  Lorenzo aux Seychelles. Apparemment, la candidate de tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ© empĂȘcherait son mari de voir ses enfants. Des rumeurs auxquelles elle a tenu Ă  mettre un terme dans une rĂ©cente story. En effet, la star du petit Ă©cran a fait savoir Ă  ses abonnĂ©s qu'elle Ă©tait heureuse de voir Lorenzo passer du temps avec ceux-ci. Une guerre qui n'est pas prĂȘte de se terminerSeulement voilĂ , alors que tout semblait plus ou moins apaisĂ©, Milla Jasmine et Nelia se sont Ă  nouveau clashĂ©es. La raison ? L'agent de l'ex-femme de Lorenzo aurait demandĂ© aux blogueurs de supprimer leur publication en rapport avec cette story. TrĂšs vite, Milla a rĂ©agi et l'a traitĂ©e de 'psychopathe', 'menteuse' et 'manipulatrice'. Milla Jasmine a fait une story trĂšs positive sur son mari et ses enfants.. Sauf que l'agent de Nelia a demandĂ© aux blogueurs qui ont repartagĂ© sa story de la supprimer. Milla a alors explosĂ© et la guerre est repartie de plus belle avec l'ex-femme de Lorenzo đŸ’„ đŸ€Ź Solife Gossip SolifeGossip_ July 24, 2022De son cĂŽtĂ©, Nelia n'a pas non plus attendu trop longtemps pour rĂ©pondre aux attaques de la candidate. Elle a notamment traitĂ© Milla de 'bourrĂ©e', rappelant le jour oĂč cette derniĂšre s'est disputĂ©e avec Lorenzo aprĂšs une soirĂ©e arrosĂ©e Ă  DubaĂŻ. La mĂšre de famille ne veut pas voir ses enfants avec sa rivale, en la taxant Ă©galement de 'petite chienne sans laisse'. Le compte gĂ©rĂ© par Milla Jasmine ?Suite Ă  ce clash, le compte a de nouveau frappĂ© en attaquant Nelia dans sa story. L'individu affirme qu'il ou elle ne connaĂźt pas la jeune maman. Mais les internautes se montrent suspicieux quant Ă  sa propension Ă  prendre la dĂ©fense de la candidate. Car selon certains, ce ne serait pas la premiĂšre fois. Ce qui les amĂšne alors Ă  penser que la personne qui utilise ce compte est bien plus connue qu'on ne le pensait. En effet, selon eux, il s'agirait de Milla les commentaires sur Twitter, on peut lire "Vous vous ĂȘtes jamais dit que la "cousine " de MaĂ«va ghennam ça pourrait ĂȘtre Milla ? Elle connait beaucoup de chose de la TVR et refuse de dire quoi que ce soit sur Milla"."Si justement on disait que c’était surement Milla
 elle avait dit qu’elle attaquait pas milla car elle l’avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© trop clashĂ© pour rien mdrrr et lĂ  c’est encore une preuve. Aucune femme censĂ©e va ĂȘtre du cĂŽtĂ© de la femme qui a brisĂ© une famille
""Je pense que c’est milla Ă©galement""Franchement, depuis cette publi, j’ai vraiment un gros doute" © TOUS DROITS RÉSERVÉS

femme qui se fait prendre par derriĂšre